Les possibilités de fermetures des salles d’urgence sont dans le collimateur des autorités Ontariennes. Oui, c’est la Vice-première Ministre de la Santé, membre du Parti progressiste-conservateur de l’Ontario qui a fait la déclaration Mme Sylvia Jones mercredi en Chambre « mon gouvernement passe en revue de nombreuses idées afin d’empêcher les fermetures temporaires des salles d’urgence ».
En effet, des services d’urgence dansplusieurs hôpitaux de la grande province de l’Ontario ont été contraints de fermer leurs portes, pendant des heures, même des jours consécutifs, cet été.
Lors de la conférence à l’Assemblée législative, on a demandé à Mme Jones « si une plus grande privatisation du système de santé faisait partie des scénarios envisagés » fut la réponse de Mme Jones « toutes les options étaient sur la table ». Les petits hôpitaux se trouvant dans les zones les plus reculées sont les plus touchés par cette situation que les hôpitaux des grands centres urbains. Les responsables locaux attribuent ces fermetures temporaires à une pénurie de main-d’œuvre dans le système.
Le premier ministre Ford et la ministre Jones à l’Assemblée législative a refusé de faire mention de « SITUATION DE CRISE » dans le système de santé. Le gouvernement a préféré affirmer que des investissements de sommes supplémentaires importants ont été consentis dans le système de santé. Pour répéter ces mots M. Ford a déclaré « S’il y avait 5000 infirmières qui tombaient du ciel, on les embaucherait demain matin ».
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Beaucoup de demande ont déjà été enoyé au premier ministre Doug Ford afin que ce dernier met en veilleuse la loi de 2019 qui plafonne à 1 % par année, pendant trois ans, les salaires des employés du secteur public.
Selon les partisans du système public cette loi nuit énormément aux efforts de recrutement et de rétention des infirmières. Des directives ont été envoyées la semaine dernière par la ministre Jones, à l’Ordre des infirmières et à l’Ordre des médecins afin que ces derniers accréditent le plus rapidement possible les professionnels formés à l’étranger.
M. Peter Tabuns chef intérimaire du Nouveau Parti démocratique, a déclaré que toute privatisation dans le système de santé « serait un désastre pour la province».
À noter que dernièrement, en Colombie-Britannique, les tribunaux ont conclu une interdiction de la province de la surfacturation et que des assurances privées en santé ne violent pas les droits des individus qui sont garantis par les chartes. Des décisions qui confirment une fois de plus que l’accès aux soins médicaux dans le système public dans cette province, est fondé sur les besoins des citoyens et non sur leur capacité de poches.
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