Avec une petite quantité d’usage personnel de 2,5 grammes de stupéfiants la Colombie-Britannique deviendra bientôt un terrain d’essai pour un projet pilote de légalisation de l’Héroïne au Canada.
La Colombie-Britannique, dont la plus grande ville est Vancouver en a fait la demande auprès du gouvernement canadien, avec pour objectif de traiter les dépendances plutôt qu’emprisonner les utilisateurs qui sont en possession. En réponse, le Canada a annoncé, mardi 31 mai, la dépénalisation de la possession de petites quantités de drogues dites « dures » dans cette province de l’ouest du pays.
« Je veux être très claire, ce n’est pas la légalisation. Nous n’avons pas pris cette décision à la légère », a expliqué Carolyn Bennett, ministre de la santé mentale et des dépendances, ajoutant que ce projet pourrait être appliqué dans d’autres provinces. Selon la ministre, « pendant trop d’années, l’opposition idéologique » visant à considérer la possession de drogues comme un problème sanitaire a « coûté des vies ».
Selon les données du gouvernement, en 2021, la Colombie-Britannique a dénombré plus de 2 200 décès liés aux opiacés, soit six personnes par jour. Au total, de janvier 2016 à septembre 2021, dans tout le Canada le nombre de décès était environ de 26 600 et plus de 29 000 hospitalisations pour des overdoses liées aux opiacés.
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