La cheffe du parti libéral Dominique Anglade a bien martelé mardi dernier en Assemblée nationale. Le manque de logements sociaux et abordables partout au Québec est inadmissible.
Selon l’opposition, « La CAQ n’a rien fait depuis quatre ans pour s’attaquer à la crise du logement, et aujourd’hui on voit les effets collatéraux de ce laxisme partout au Québec ». Elle trouve révoltant la situation dans se trouve les étudiants pour trouver un logement.
Si le gouvernement d’aujourd’hui avait écouté la population québécoise, « le Québec n’en serait pas là » . À deux semaines du déclenchement des élections générales. L’opposition a déclaré que « le Québec a besoin d’un gouvernement ambitieux pour régler la crise du logement ».
Un contrôle des prix des loyers a été proposé tout « en construisant plus de logements sociaux et en serrant la vis à Airbnb, qui nous prive de centaines de logements » sur le marché locatif privé. Une aide supplémentaire de 100 $ par mois avaient été proposé par Québec solidaire pour les étudiants qui ne vit plus chez leurs parents, le parti de libéral son côté portera ce soutien financier à 215 $, non imposable, pour chaque enfant d’âge scolaire.
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Présentement, les résidences des étudiantes n’arrivent plus à satisfaire les demandes de la population estudiantine du Québec. Pour le moment, toutes les solutions sont sur la table. (Couvents, hôtels, résidences pour aînés) pour arriver à trouver un moyen pour satisfaire le demandes de résidences. La directrice adjointe, des services aux étudiants à l’Université du Québec à Trois-Rivières, Catherine Therrien nous dit « qu’actuellement, c’est très difficile, Pour loger tout le monde, les universités et les cégeps doivent être créatifs, en mettant en place des solutions novatrices de secours».
Marc-Antoine Bolduc, vice-président aux affaires externes de la Fédération étudiante de l’Université de Sherbrooke, explique que, « Cette année, les logements partent plus vite que jamais ». Présentement, plus de 100 étudiants étrangers étaient toujours en quête d’un logement à la fin de juillet, selon un sondage mené par l’Université. Dans les zones avoisinantes, comme Gaspé, à Chicoutimi, à Rouyn-Noranda ou à Rimouski on constate le même scenario.
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Le gouvernement de M. Légault n’avait-il pas un plan pour encourager les étudiants étrangers à étudier dans les zones avoisinantes?
Comment le gouvernement va s’y prendre pour ces etudiants ?
Y-a-t-il un plan surprise, non encore dévoilé ?
Autant de questions demeurent encore sans réponse, quant à l’avenir de l’intégration des étudiants étrangers en région ?
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